Le CINARK (Centre for Industrialized Architecture, Danemark) a représenté l'impact carbone des matériaux dans une pyramide claire : ➡️ En haut : les matériaux à fort impact carbone (béton, acier, alu). ➡️ En bas : ceux à impact faible (terre crue, bois, paille, chanvre…).

La RE2020 a remplacé la RT2012 depuis janvier 2022… Mais ce n’est qu’une pièce du puzzle. Selon que vous travaillez en neuf ou en réhabilitation, sur un logement, un ERP ou un bureau, avec une petite ou une grande surface… d’autres réglementations s’appliquent.

C’est l’un des labels environnementaux les plus exigeants au monde : ➡️ Le bâtiment doit produire plus d’énergie qu’il n’en consomme. ➡️ Collecter et traiter sa propre eau. ➡️ Respecter des critères de santé, d’équité, de matériaux et… même de "beauté". Et ce n’est pas une promesse sur plans : la certification n’est validée qu’après 1 an d’usage réel.

Une "clim" qui date de plus de 5 000 ans… et ne consomme pas 1 watt ! Vers -3 000 av. J.-C., en Iran, en Égypte et au Moyen-Orient, on inventait déjà les Bâdgirs.

Pas de clim énergivore, pas de machine bruyante. Juste un principe naturel vieux comme le monde : l’évaporation.

Votre toit peut dépasser +70°C en été. Et vous subissez la chaleur… alors qu’une solution ultra-simple existe. Voilà une des notions d'architecture bioclimatique que j’ai enseigné cette année à mes étudiants